Bienvenue dans la Chambre 42…
Nous sommes dans le vieux port de KébeK…
Un Bizzartiste tente de traduire en musique ce qu’il ressent après avoir rencontré la reine des abeilles
dans la minuscule petite tourelle de cette version en or de L’Hotel de Hilbert…
Sur la Face A, vous retrouvez son tout premier disque….
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Et sur les multiples autres faces de cette chambre vous retrouvez….
#PointdeDépart #Bizzart #HasardsNécessaires
Projet de doctorat sur la synchronicité dans la psychothérapie (JFV)
Neurosciences des Coïncidences
Travail de fin de session pour le cours: Psy 972 du programme de Doctorat donné par Alain Mercier pour Psychologues en exercices de l’Université de Sherbrooke.
Conférence sur la synchronicité donnée au Pari Center pour le 20ième anniversaire de la publication des Hasards Nécessaires et le début du projet #HilbertHotel et #Symphonicity
Necessary Chances 20th anniversary
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Extrait de l’événement….
JFV et DAVID PEAT in Pari, Italy
Article: L'Espace d'un instant: La synchronicité comme acte de création dans le temps
Les archétypes: opérateurs quantiques de la conscience?
Selon l’article « L’espace d’un instant. La synchronicité comme acte de création dans le temps », les archétypes, dans la théorie de Jung, pourraient être comparés à des opérateurs quantiques possédant des spectres distincts. Ils influencent la conscience humaine en agissant sur l’information quantique qu’elle renferme.
● L’article propose que chaque archétype fonctionnerait comme un opérateur avec un spectre qui lui est propre, influençant les pensées, les émotions et les comportements d’un individu ou d’une société.
● Ces archétypes influenceraient le « complexe du moi », défini par Jung comme le noyau émotionnel structurant la perception du temps et de l’espace.
●Les symboles seraient alors des expressions des variations de cet opérateur à l’intérieur du champ des possibles de l’archétype, comparables aux valeurs spectrales d’un qubit.
L’archétype n’est pas l’image elle-même, mais plutôt la matrice qui génère une variété infinie d’images. Par exemple, l’archétype du Soi, lié à la totalité et au sens, posséderait un spectre se manifestant entre des opposés (exprimés par une séquence de 1 à 4) tels que l’ordre et le chaos, la variabilité et la singularité.
Ce concept d’archétype en tant qu’opérateur quantique rejoindrait la variabilité quantique décrite par Alain Connes. Cette variabilité, issue de la non-commutativité des variables à l’échelle quantique, est source de créativité.
De la même façon, les archétypes, en tant qu’opérateurs, engendreraient une variété d’expressions symboliques dans la conscience humaine.
L’article établit un parallèle entre le passage du 3 au 4 dans le spectre de l’archétype du Soi et le nombre Pi. Ce passage, symbolisant un saut qualitatif, est comparé à l’émergence de la synchronicité, un événement créatif et transformateur qui défie la causalité.
De même, le nombre Pi, irrationnel et infini, représente un concept qui échappe à la saisie totale de la raison.
L’auteur souligne l’importance de la synchronicité, comparée à une rencontre porteuse d’une énergie particulière et d’un nouveau langage, dans le processus d’individuation. Cette individuation, définie comme l’expression d’une variabilité singulière au sein du collectif, est rythmée par des rencontres synchronistiques.
En conclusion, l’article propose une vision des archétypes comme des opérateurs quantiques qui, en interagissant avec la conscience humaine, participent à l’émergence du sens et de la singularité. La synchronicité, en tant que manifestation de cette interaction, serait alors un acte de création gratuit et spontané, source de transformation et d’évolution pour l’individu.
Merci de critiquer et questionner avec nous cet article et ce concept clé de la pensée jungienne qui n’obtient pas, à ce jour, de consensus en regard de la communauté scientifique.
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